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3 novembre 2006 5 03 /11 /novembre /2006 14:05

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur la figure ci-dessus, il est possible de monter ou d’ouvrir la base, soit grâce à la commande ALTER DATABASE {MOUNT|OPEN}

 

Une base de données Oracle peut présenter l’un des cinq états suivants :

 

 

1- La base inexistante

C’est le premier état de la base de données : quand elle n’existe pas !. La configuration de la nouvelle base de données est contenue dans le fichier de paramètres, et la seule action réalisable à ce stade est le démarrage de l’instance pour qu’il puisse lire et charger en RAM les paramètres.

 

 

 2- La base fermée

Quand c’est possible il est intéressant de fermer la base de donnés pour :  

   - Réaliser des sauvegardes complètes de la base de données

   -Modifier le fichier de paramètres (encore appelé fichier d’initialisation), et que l’instance prenne en compte ces modifications lors du prochain démarrage

 

 

3- La base non montée 

Dans cet état, les paramètres personnalisés sont lu et stockés en RAM. LA taille de la mémoire définie dans le fichier de paramètres est réservée, les processus background sont démarrés. Cet état sert principalement à créer la base de données. Il peut permettre également d’effectuer certaines opérations de maintenance, par exemple sur le fichier de contrôle.

 

 

4- La base montée 

Ici le fichier de contrôle est lu, C’est dans cet état que va être évaluée la cohérence de la base, et donc si la base de données va pouvoir s’ouvrir sans récupération des données. Cet état sert principalement à réaliser des opérations de maintenance sur la base de données (fichiers de données), ou lors de restauration de sauvegarde, lancer un processus de recouvrement de données.

 

 

 

5- La base ouverte 

Les fichiers de données sont accessibles et les utilisateurs identifiés dans la base de données peuvent être accédé. C’est l’état normal du fonctionnement de la base de données.

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2 novembre 2006 4 02 /11 /novembre /2006 20:34
 

Les sept (7) nivraux de préoccupation du Manager (d’après Thomas  Gilbert )

 

La Pyramide de besoins (d’après Abraham Maslow )

Autres ...

 

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25 mars 2006 6 25 /03 /mars /2006 15:00

I    Différence entre Infocentre et DataWarehouse

L’infocentre est une collection de données orientées sujet, intégrées, volatiles, actuelles, organisées pour le support d’un processus de décision ponctuel.

Le DataWarehouse est une collection de données orientées sujet, intégrées, non volatiles, historisées, organisées pour le support d’un processus d’aide à la décision.

Ou plus généralement on qualifie d’infocentre une solution décisionnelle dont le modèle de données est très proche d’un modèle de données d’un système opérationnel.

 

 

 

 

 

 

 

 

L’infocentre est un outil alors que le Data Warehouse est une architecture.

 

 

 

 

 

II  Architecture d’un Système décisionnel

Une prise de décision intègre généralement  quatre modèles 

1-  Un modèle de données : C’est le DataWarehouse  

2- Un modèle de connaissance : Ce sont les faits et les règles. Ici c’est le domaine du DataMining (Réseaux de neuronnes, Algorithmes génétiques, Systèmes expert, …)  

3- Un modèle mathématique : C’est le domaine de la modélisation (recherche opérationnelle, programmation linéaire, ..). La variable solution peut être mono critère (C’est–à-dire que l’on recherche une solution optimale) ou multi critère (c’est-à-dire que l’on recherche une solution acceptable). Par définition dans le dernier cas il existe plusieurs solutions.

4- Un modèle de décision : Empirique ? Dépend de l’expérience du décideur

Une architecture minimale contient aumoins le modèle de données

Ci-après un schéma résumant l’architecture

 

 

 

 

 

 

Cliquez ici pour télécharger le schéma d'architecture au format pdf

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6 février 2006 1 06 /02 /février /2006 13:59

I      La SGA (System Global Area), est divisée en trios zones :

 a) La Shared Pool (Zone de requêtes partagées), parfois appelée PGA (Program Global Area), y sont

 - La Métabase (le dictionnaire de données Oracle)

 - Les requêtes et leurs plans d’exécution (Une même requête envoyée par Plusieurs utilisateurs n’est exécutée qu’une seule fois !)

 - Tout autre objet exécuté (Procédure/fonctions stockées, vues, …)     Paramètres de la taille dans le fichier de paramètre : SHARED_POOL_SIZE  

 

b) Le Database buffer cache, c’est la zone de données (Rollback segment, copie des fichiers physiques, …)  Paramètre taille dans le fichier de paramètre : DB_BLOCK_SIZE, DB_BLOCK_BUFFERS

 

 c) Le Redo Log Buffer. Toute opération sur la base de données est enregistrée dans les fichiers Redo Log. Ce sont ces fichiers qui permettent de recouvrer la base de données et permettent de ramener la base de données dans un état cohérent après un crash. Dans ces fichiers l’on trouve : Les images avant des données, Les images après de données, Les checkpoints, Les commits et les Rollbacks. Paramètre taille dans le fichier de paramètre : LOG_BUFFERS

 

 II        Les Process Background (ou Process détachés)

 Ce sont les Process du noyau Oracle

 a) PMON (Process MONitor) : Son rôle est de manager les autres process (Utilisateur et Serveur), de contrôler leur collaboration (nettoyer les ressources, les verrous et les processus utilisateurs non utilisés)

 

b) DBWR (DataBase WRiter ou Dirty Buffer WRiter) : Il est chargé de swaper le Data buffer Cache et les Data Files (Fichiers de données)

 

c) LGWR (LoG WRiter) : Son rôle est d’écrire dans les fichiers Redo Log. Lorsque le CheckPoint n’existe pas, il est également chargé d’écrire sur les entêtes de fichiers de données.

 

d) CKPT (ChecKPoinT) : Il est chargé d'écrire le contenu des buffers dans les fichiers de données

e) SMON (System MONitor) : Il est chargé de vérifier la cohérence de la base de données et éventuellement sa restauration lors du démarrage si besoin. C’est lui qui crée les segments temporaires (utilisées essentiellement pour des tris). C’est un peu le père de autres process background. (Généralement sous Oracle System se rapporte à l’instance

 

f) RECO (RECOvery) : Son rôle est de garantir la restauration des transactions dans les bases distribuées.

 

g) ARCH (ARCHiver) : Ce processus est optionnel et n'existe qu'en mode ARCHIVELOG. Il permet de dupliquer les fichiers Redo-Log dans un espace d'archivage.

 

h) LCKn (LoCK) est un processus de verrouillage utilisé lorsque Oracle Parallel Server est installé

 

i) SNPn (SNaPshot) : Gestion des snapshots

 

j) Pnnn (Parallel) : Gestion des requêtes parallèles

 

k) Dnnnn (Dispatcher, nnnn représente une suite de nombre entiers) : Ce processus est optionnel et n'est présent que dans les configurations MTS (Multi-Threaded Server). Il permet de router les requêtes des postes clients distant vers les autres serveurs. Il existe au moins un processus Dnnnn pour chaque protocole de communication.

 

i) Snnnn (Server, nnnn représente une suite de nombre entiers) : Ce processus est n'est également présent que dans les configurations MTS. Il permet de recevoir les demandes de connexions distantes  envoyées par le processus Dnnnn d'un serveur distant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 février 2006 1 06 /02 /février /2006 13:51

Une base de données peut présenter une taille relativement importante et comporter un grand nombre d'utilisateurs. Aussi, un DBA doit planifier correctement la structure physique d'une base de données de telle façon que l’échec d’un disque ne provoque pas l’arrêt de l’instance de la base de données.

 

1-Créer au moins deux fichiers de contrôle et les stocker sur des disques différents. Si un fichier de contrôle ou un disque sur lequel est stocké un fichier de contrôle est corrompu, la base de données pourra toujours accéder à l’autre fichier de contrôle.

 

2- Les fichiers redo log online doivent être organisés en groupes multiplexés. Un groupe de fichier redo log est constitué des copies identiques des fichiers redo log. Le multiplexage des groupes de fichiers redo log online permettent au processus Log Writer (LGWR) de continuer d’écrire de l’entrée log des membres disponibles dans un groupe indisponible ou corrompue. Le processus LOGWR est un processus d’arrière plan qui écrit les entrées du cache redo log (redo log buffer) sur le disque.

 

3- Les membres d’un groupe de redo log doivent également être stockés sur des disques différents. Ainsi si un disque est corrompu, le LGWR et l’instance de la base de données n’échoueront pas.

 

4- Les fichiers de données contenant des objets de la base de données avec des durées de vie différentes, telles que les données d’une application et les données temporaires, doivent être séparés afin de minimiser la fragmentation.

 

5-Les fichiers de données dont les données participent à la contention sur le disque doivent être séparé sur différents disques.

  

 

 6-Les fichiers de données qui contiennent des données avec des caractéristiques d'administration, différentes doivent être séparés. Par exemple, les objets avec des besoins d’entrées/sorties concurrent, tels que les tables et les index, doivent être séparés. Cette séparation garantit au DBA un bon équilibrage des charges d’entrée/sortie.

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 février 2006 1 06 /02 /février /2006 13:41

 

  

La Norme OFA (Optimal Flexible Architecture) : La norme OFA a été développée par une équipe Oracle, responsable de l'installation, de la mise à niveau et de l'optimisation des systèmes UNIX. Le système de fichier d’un système d'exploitation doit être organisé afin que la taille des bases de données puisse être gérée facilement avec l’ajout de données, d’utilisateurs et de matériels. La norme OFA  permet de rendre possible cette organisation du système de fichier.

  

 

 - Pour que qu'une structure de répertoire soit compatible OFA, un répertoire différent doit être créé sous le répertoire des données Oracle pour chaque base de donnée du système. Par exemple, le répertoire orantoradatadb01 est créé pour la base de données db01.

 

 

 - Tous les fichiers de contrôle (control files), les fichiers redo log et les fichiers de données (data files) d’une base de données spécifique doivent être placés sous le répertoire spécifique à cette base de données. Par exemple, le fichier de contrôle (ctrl1orcl.ora) et le fichier redo log (rdoorcl.ora) de la base de données db01 sont stockés dans le répertoire orantoradatadb01.

 

 

 - Les groupes d’objets présentant des caractéristiques de fragmentation différentes doivent être stockés dans différents tablespaces. Par exemple, les segments de données et les segments de rollback doivent être stockés dans tablespaces distincts. Par exemple, les segments de données et les rollback segments doivent être dans des tablespaces différents.

 

 - Les objets susceptibles de provoquer des conflits liés à l'utilisation des ressources disques doivent être placés dans des tablespaces distincts. Les données de tablespaces impliquées dans un conflit doivent être réparties sur différents disques. Pour optimiser la répartition de la charge des entrées/sorties et minimiser la contention, il est conseillé d’utiliser une configuration en quatre disques. La répartition des fichiers de la base de données sur quatre disques assure la compatibilité avec la norme OFA et augmente la fiabilité de la base de données.   

 

1- Le premier disque contient le code de base du système d'exploitation.

2-  Le répertoire racine Oracle est stocké sur le second disque.

3-  Le troisième disque stocke le code de l’application, une copie du fichier de contrôle et les fichiers redo log.

4-  Le quatrième disque stocke une copie d’une fichier de contrôle, des fichiers redo log et des fichiers de la base de données.

5-  Le quatrième disque n’est pas nécessaire si la technologie RAID 1 (Redundant Array of Inexpensive Disk) est utilisée pour les fichiers redo logs et les fichiers de données. Dans ce cas, le troisième disque devient un volume mis en miroir du quatrième.

 

 

En outre, les fichiers de données situés sur ce disque doivent être stockés au même emplacement que celui où ils auraient été stockés sur le quatrième disque. Si une combinaison des technologies RAID1 et RAID5 est utilisée, le troisième et le quatrième disque doivent être mis respectivement en RAID1 et RAID5. Si seulement trois disques sont disponibles, le système d'exploitation et le répertoire racine Oracle sont stockés sur le premier disque. Le second disque stocke le code de l’application, une copie du fichier de contrôle, des fichiers redo log et des fichiers de la base de données. Enfin le troisième disque contient une copie du fichier de contrôle, les fichiers redo log et les fichiers de la base de données.

 

 

 

 

 

 

- Pour obtenir une structure de répertoire compatible OFA, les groupes d’objets présentant des caractéristiques de comportement différents doivent être placés dans des tablespaces distincts. Par exemple, les tables qui requièrent des sauvegardes quotidiennes et mensuelles doivent être stockées dans tablespaces distincts.

 

 

- La base de données doit posséder au moins deux différentes copies des fichiers de contrôle stockées sur disques différents. Ceci permet à la base de données de continuer de fonctionner proprement en accédant à un fichier sur un autre disque si un disque est corrompu.

 

 

- Chaque groupe de redo log en ligne doit avoir au moins deux membres redo log en ligne localisé sur disques physiques différents. Ceci permet d’utiliser un autre membre d’un groupe si un membre d’un groupe est corrompu.

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